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Actu
Laure de La Raudière prend la présidence de l’Arcep
Félicitations !
Free va supprimer le service FreeWifi
Le seul truc qui marchait quand t’avais pas de forfait 3G… on fait comment du coup ?
Déjà qu’ils coupent les IP en 4… Xavier REND MON IP !!!
Free permet d’activer IPv6 sur mobile
Ah, enfin une bonne nouvelle. Bon, faut avoir un mobile en plus de l’opportunité… Et attention, Android a encore des soucis avec IPv6 dans certains cas.
NextCloud propose des migrations automatiques depuis les plateformes privatrices
Y a plus de raison de ne pas s’échapper du nuage ! Google Drive, Goodle Docs, Dropbox, OneDrive… tout est prévu.
Finalement la fin du support d’Android 4 par Let’s Encrypt est repoussée
Grâce à une bidouille il devrait pouvoir être repoussé jusqu’en 2024.
Microsoft semble continuer à proposer la migration gratuite de Windows 7 et 8 vers Windows 10
Alors que l’offre était censé finir en 2016, visiblement ils n’ont pas bloquer cette possibilité. Peut-être pour contrer la concurrence de GNU/Linux ?
Chapril, le CHATON de l’April, propose une forge logicielle
Contrairement à Framagit qui utilise GitLab, celle-ci est basée sur Gitea, un autre logiciel libre de forge logiciel, choisi pour sa légèreté, ainsi que par soucis de techno-diversité.
Sanction de la CNIL contre PERFOMECLIC
Cette société de prospection commerciale a été signalée à la CNIL qui a retenu plusieurs manquements au RGPD, et l’a mise à l’amende pour 7300 €.
La Commission européenne enregistre l’initiative Reclaim Your Face
La Commission européenne enregistre l’initiative citoyenne visant à faire interdire la surveillance biométrique de l’espace public.
Vous pouvez apporter votre soutien à l’initiative ReclaimYourFace en signant sur le site.
L’Allemagne déploie Moodle et BigBlueButton pour 600000 élèves
La moitié des écoles allemandes vont pouvoir bénéficier de ces logiciels libres pour l’enseignement à distance. L’état allemand investit 18 millions d’euros en deux ans pour l’infrastructure et financer des évolutions des deux logiciels. Pendant ce temps, en France…
Même en Chine certains s’opposent aux technologies de surveillance
La ville de Hangzhou est la première à encadrer l’usage de la reconnaissance faciale dans les résidences. Étrange pour la ville qui sert de siège au groupe Alibaba, un des géants du numérique.
WhatsApp ne changera pas ses conditions d’utilisations… tout de suite
Ils ont juste repoussé de 3 mois les modifications pour lui permettre de nourrir Facebook avec les données récoltées, ce qui n’a pas empêché de nombreux utilisateurs de fuir la plateforme pour migrer sur d’autres applications comme Signal.
OpenStreetMap lance un sondage pour connaître la communauté de ses utilisateurs
Et avoir un retour sur les décisions prises par la fondation en 2020.
Chiptune: ROBBOT – Reference
Sujet : La technologie automatise le créateur de mode
Les marques de mode de toutes tailles et spécialités utilisent la technologie pour mieux comprendre les clients.
À mesure que ces efforts de collecte de données deviennent de plus en plus sophistiqués, l’intelligence artificielle remodèlera l’approche des marques en matière de conception et de développement de produits, en mettant l’accent sur la prédiction de ce que les clients voudront porter ensuite.
En dehors de la mode, les fabricants utilisent déjà l’IA pour générer des prototypes prêts à l’ emploi pour des produits allant des pièces d’avion aux équipements de golf. Les logiciels de conception générative devraient représenter un marché de 44,5 milliards de dollars d’ici 2030, selon le consensus des analystes de l’industrie de CB Insights.
Google a déjà testé les designs de mode IA axé sur l’utilisateur avec Project Muze, une expérience qu’il a déployée en partenariat avec la plateforme de mode allemande Zalando en 2016.
Le projet a formé un réseau de neurones à comprendre les couleurs, les textures, les préférences de style et d’autres «paramètres esthétiques», dérivés du rapport sur les tendances de la mode de Google ainsi que des données de conception et de tendance fournies par Zalando.
À partir de là, Project Muze a utilisé un algorithme pour créer des conceptions basées sur les intérêts des utilisateurs et alignées sur les préférences de style reconnues par le réseau.
Amazon innove également dans ce domaine. Un projet Amazon, dirigé par des chercheurs israéliens, utiliserait l’apprentissage automatique pour évaluer si un article est «élégant» ou non.
Un autre, issu de la branche R&D d’Amazon Lab126 en Californie, utiliserait des images pour en savoir plus sur un style de mode particulier et créer des images similaires à partir de zéro.
Si cela ressemble à «la mode rapide d’Amazon», c’est parce que c’est probablement le cas. En 2017, le géant du commerce électronique a breveté un système de fabrication pour permettre la fabrication de vêtements à la demande. La technologie pourrait être utilisée pour prendre en charge sa ligne Amazon Essentials ou les fournisseurs du réseau logistique d’Amazon.
Bien sûr, les résultats de la conception d’une IA sans humain ne sont pas toujours prêts pour la piste. De nombreux designs créés pour les utilisateurs du Project Muze de Google étaient des gribouillis et des gribouillis insupportables, tandis que certains rapports sur l’initiative Amazon Lab126 qualifiaient les résultats de conception de «grossiers».
De plus, l’utilisation d’algorithmes pour générer des vêtements s’est parfois retournée contre lui. En 2019, par exemple, il a été dévoilé qu’un certain nombre de vendeurs de t-shirts en ligne déployaient des robots pour gratter des images (sous lesquelles les gens avaient commenté «Je veux ça sur un t-shirt» ou autre) et les téléchargeaient sur des places de marché sur être produit et vendu à la demande. Cela a rapidement suscité des critiques et des allégations de violation du droit d’auteur et de vol de propriété intellectuelle.
Néanmoins, l’écart entre les conceptions développées par l’IA et celles créées par l’homme se réduit. En avril 2019, un «designer» d’IA appelé DeepVogue qui utilise l’apprentissage en profondeur pour produire des conceptions originales tirées d’images, de thèmes et de mots-clés importés par des designers humains.
De toute évidence, plus de département de recherche est nécessaire avant que les marques ne s’appuient sur des concepteurs exclusivement IA. Mais l’intelligence artificielle aide déjà les marques à créer et à itérer leurs conceptions plus rapidement.
En 2018, Tommy Hilfiger a annoncé un partenariat avec IBM et le Fashion Institute of Technology. Le projet, connu sous le nom de «Reimagine Retail», a utilisé des outils d’IA d’IBM pour déchiffrer:
Les connaissances du système d’IA ont ensuite été transmises aux concepteurs humains, qui pourraient l’utiliser pour prendre des décisions de conception éclairées pour leur prochaine collection.
Stitch Fix a développé plus de 30 vêtements en utilisant la méthodologie de conception hybride.
La société a déclaré que les pièces conçues par l’IA se comportaient de manière comparable dans les ventes de «gardien» aux vêtements de ses fournisseurs de marques de mode. C’est probablement parce que Stitch Fix dispose de si vastes trésors de données clients qui informent son IA, grâce à son modèle commercial basé sur l’abonnement et axé sur les commentaires.
À mesure que de plus en plus de programmes «d’assistance» de l’IA progressent, ils aideront les marques à prendre des décisions stratégiques plus intelligentes en matière de développement de produits et de nouveaux secteurs d’activité.
Les plates-formes de conception 3D comme CLO facilitent également la modification des conceptions à la volée. Ceux-ci permettent aux marques d’utiliser des informations d’intelligence artificielle en temps réel pour modifier les modes jusqu’à la minute où elles entrent en production.
À l’instar de l’initiative Lab126 d’Amazon et du projet Muze de Google, des scientifiques de l’UC San Diego et d’ Adobe ont décrit un moyen pour l’IA d’apprendre le style d’un individu et de créer des images personnalisées générées par ordinateur de nouveaux éléments qui correspondent à ce style.
Le système pourrait permettre aux marques de créer des vêtements personnalisés pour une personne en se basant uniquement sur leur engagement avec le contenu visuel.
À un niveau plus macro, cela pourrait également permettre à une marque de prédire les tendances de la mode plus larges en fonction des données historiques de l’ensemble de sa base d’utilisateurs. Les prévisions pourraient finalement être utilisées pour guider la conception d’un produit ou d’une étiquette entière.
La prochaine ère de la mode est entièrement consacrée à la personnalisation et à la prédiction. Avec de plus en plus de données, les algorithmes deviendront des chasseurs de tendances – prédisant (et concevant) la suite d’une manière qui n’a jamais été possible.
En fin de compte, les préférences des consommateurs guideront chaque aspect du processus de conception et de production.
Des plates-formes comme True Fit peuvent aider à identifier les types de matériaux que les acheteurs préfèrent, ou même à déterminer à quel point les conditions d’approvisionnement et de fabrication sont importantes pour un acheteur unique.
La mode rapide a créé une mentalité de gratification instantanée
La mode rapide, dans laquelle les designs passent rapidement des podiums aux rayons des magasins, a bouleversé tous les aspects de ce modèle.
Cela permet aux marques de mode rapide de battre les étiquettes traditionnelles sur le marché. Les vêtements et accessoires défilés sur les podiums en septembre et février peuvent être repérés et reproduits par les marques de mode rapide avant même que les originaux ne soient en magasin.
Avec une capacité presque en temps réel à obtenir les styles les plus récents sur les étagères, les marques de mode rapide peuvent proposer des variétés plus larges de styles de vêtements pour répondre aux préférences de segments de clientèle plus petits et plus ciblés. Ils peuvent également pousser de plus petites séries pour tester la demande des clients ou vendre des collections pour des durées de vie extrêmement courtes.
La montée en puissance de la mode rapide décime la saisonnalité semestrielle qui a longtemps structuré l’industrie de la mode. Afin de suivre le rythme, les marques de vêtements traditionnels font désormais leurs débuts environ 11 saisons par an.
Les médias sociaux accélèrent ce cycle. Le marketing d’influence et d’autres stratégies de médias sociaux aident les nouvelles tendances à voyager rapidement, créant une demande rapide des consommateurs pour des modes hyper bon marché.
Pourtant, la mode rapide a un côté sombre. De nombreuses marques de mode rapide fabriquent des vêtements à bas prix et de mauvaise qualité dans des usines aux conditions de travail douteuses, en s’appuyant sur des travailleurs à bas salaire. Les matériaux bon marché utilisés pour créer des vêtements bon marché sont également chargés de produits chimiques.
Étant donné que les cycles de production rapides créent des déchets textiles excessifs, les vêtements bon marché nuisent à la fois aux travailleurs d’usine et à l’environnement. Selon l’Agence de protection de l’environnement, environ 12,8 millions de tonnes de vêtements sont envoyées chaque année dans des décharges.
La production textile mondiale émet 1,2 milliard de tonnes de gaz à effet de serre par an – plus que les vols internationaux et le transport maritime réunis. L’industrie de la mode est responsable de jusqu’à 10% des émissions mondiales de CO2, 20% des eaux usées industrielles mondiales, 24% des insecticides et 11% des pesticides utilisés, selon certaines estimations.
Bien que les questions de durabilité dans la mode, et la mode rapide en particulier, ne soient pas nouvelles, ce qui est nouveau, c’est la façon dont les clients les plus influents de l’industrie commencent à réagir.
Les consommateurs sont conscients des inconvénients de la mode rapide: les acheteurs socialement conscients adoptent le mouvement croissant de la «mode lente», qui se concentre sur des matériaux durables et un travail et une fabrication transparents et éthiques.
Le passage à des matériaux plus durables n’est pas la seule façon dont l’industrie de la mode adopte des pratiques plus durables.
Les plateformes de revente et de consignation telles que Depop , ThredUp et Poshmark qui permettent aux gens d’acheter et de vendre des vêtements usagés ont gagné en popularité à mesure que la durabilité devient plus importante pour les consommateurs.
L’IA et les technologies avancées peuvent également avoir un rôle à jouer dans la promotion de la durabilité dans la mode.
Par exemple, une meilleure prévision de la demande peut permettre une utilisation plus efficace des matériaux, réduisant ainsi le volume de ressources gaspillées – un problème historique dans les chaînes d’approvisionnement de la mode. H&M a lancé un département IA en 2018 pour s’attaquer précisément à ce problème.
Un autre domaine que ces technologies pourraient améliorer est celui des retours, qui sont actuellement une source importante de déchets dans l’industrie de la mode (et le segment du commerce électronique en particulier). En moyenne, 40% des achats en ligne sont retournés. Grâce aux données et aux capacités d’IA, les détaillants pourraient mieux faire correspondre le comportement d’achat et les préférences des clients, réduisant potentiellement le nombre global de retours.
Les coûts de création d’une marque de mode ont considérablement baissé, grâce à la technologie et au commerce électronique.
Les marchés de la fabrication, d’une part, peuvent tirer parti de l’IA pour donner des commentaires sur la faisabilité des conceptions et fournir des estimations sur les coûts et le temps de production, éliminant potentiellement des mois de va-et-vient avec les fournisseurs.
Dans le passé, les marques de mode devaient fabriquer des centaines ou des milliers d’articles pour les produire à un prix raisonnable.
Dans la production de masse, plus de produit équivaut à plus d’argent. Les fournisseurs ont tendance à être moins réactifs aux commandes de petites quantités à moins qu’ils ne soient spécifiquement configurés pour cette échelle.
Pourtant, de nombreuses technologies émergent pour rendre la production évolutive et durable plus réalisable, à un rythme plus rapide.
Certaines marques «internalisent» la production pour accélérer le rythme de fabrication et répondre plus rapidement à la demande des consommateurs.
La crise de Covid-19 a également mis en évidence les risques de l’approvisionnement unique. Les entreprises ont vu leur production s’immobiliser complètement alors que la pandémie balayait la Chine, où de nombreuses multinationales s’approvisionnent en produits pour des raisons de coût ou d’approvisionnement.
Mais dans les cas où la diversification des fournisseurs n’est pas possible, l’IA devient de plus en plus essentielle pour la surveillance de la chaîne d’approvisionnement.
Les entreprises d’IA tirent parti du traitement du langage naturel (PNL) pour parcourir les actualités, les bases de données gouvernementales, les revues spécialisées, etc. pour surveiller les perturbations de la chaîne d’approvisionnement, y compris les catastrophes naturelles ou les accidents d’usine. L’apprentissage automatique est également utilisé pour générer des scores de risque pour les fournisseurs en fonction de leur réseau de chaîne d’approvisionnement.
Les marques explorent comment l’impression 3D peut les aider à produire des produits à la demande et à créer de nouvelles voies de personnalisation.
La marque de vêtements professionnels de performance Ministry of Supply a dévoilé une imprimante 3D en magasin qui crée des tricots personnalisés (et peut produire un blazer personnalisé en seulement 90 minutes). L’impression des vêtements réduit les déchets de tissu lors de la production d’environ 35%.
New Balance s’est associée à HP en janvier 2020 pour imprimer des semelles personnalisées basées sur des données biométriques numérisées. a lancé la chaussure , le premier produit sur le marché issu du concept d’impression 3D de l’entreprise La chaussure est dotée de «lacets» imprimés en 3D
Comme dans toutes les autres industries, l’automatisation et la robotique sont également à venir pour la fabrication de mode. Ils sont déjà dans l’entrepôt: de nombreuses marques utilisent des systèmes de stockage et de récupération automatisés pour le stockage et le transport des stocks .
Cependant, l’utilisation de robots dans la fabrication de vêtements a été plus difficile.
La découpe robotisée de tissus est possible depuis des années, mais la couture présente un défi, car les robots durs ont du mal à travailler avec des tissus souples et élastiques.
Les progrès de la robotique douce infiltreront la confection dans le futur. En attendant, les startups combinent matériel et logiciel pour créer des systèmes de couture automatisés.
SoftWear Automation , par exemple, développe des «Sewbots» équipés de bras robotiques, de pinces à vide et de «micromanipulateurs» spécialisés qui peuvent guider un morceau de tissu à travers une machine à coudre avec une précision submillimétrique.
Les Sewbots utilisent des caméras spécialisées et des logiciels de vision par ordinateur pour suivre les fils individuels à 1 000 images par seconde. (Dans un contrat, la start-up a ramené les coûts de fabrication des t-shirts d’un fournisseur à seulement 0,33 euro la chemise.)
En février 2019, SoftWear a annoncé Sewbots-as-a-Service, qui permet aux fabricants, aux marques et aux détaillants de louer la ligne de travail de couture entièrement automatisée. Le programme vise à permettre aux entreprises basées aux États-Unis de s’approvisionner et de fabriquer aux États-Unis à un coût inférieur à celui de l’externalisation, avec une prévisibilité et une qualité accrues.
Les robots sont utilisés depuis longtemps dans la fabrication de chaussures, mais Nike a doublé la fabrication de robots avec son investissement en 2013 dans Grabit , une startup de robotique qui utilise l’électroadhésion (une forme d’électricité statique) pour aider les machines à manipuler les objets de manière innovante.
En adoptant des systèmes de fabrication qui reposent davantage sur les machines et moins sur les humains, les marques de mode du futur accéléreront la production et minimiseront les préoccupations concernant les conditions de travail dans leurs installations. Cependant, ils risquent également un retour en arrière potentiel de l’automatisation d’une main-d’œuvre d’usine – bien qu’une main-d’œuvre notoirement mal rémunérée fonctionnant dans des conditions difficiles.
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A demo with an eastery chillaxed vibe by Farfar, LoadError und Xerxes – demo amiga – révision Online 2020
Agenda
Rappelons que l’agenda est celui de la semaine passée lors des rediffusions le samedi.
Semaine du Numérique – les métiers de la communication digitale et du Community Management
Lorsque des entreprises et des marques investissent le web et les réseaux sociaux, elles font appel à des femmes et des hommes dont le métier, consiste à diffuser et partager leurs messages.
Texte, vidéo, photo, les communicants digitaux créé du contenu pour développer la notoriété de leurs organisations.
Découvrez deux témoignages de professionnels de la Drôme qui travaillent au quotidien dans la communication numérique et l’animation de réseaux sociaux.
Organisé par Le Moulin Digital et les Pôle-emploi de la Drôme.
Mercredi 27 janvier à 14h ;
En ligne sur Facebook Live.
Du lien et des liens
Cette semaine l’émission « Libre à vous » de l’April invitait Éric Bothorel après le rendu du rapport sur sa mission d’analyse et de prospective relative à la mise en place d’une politique publique de la donnée et des codes sources.
Séminaire du Collège de France : Automatisation de la maintenance du noyau de Linux : l’expérience Coccinelle
100 leçons de design pour 2021
L’informatique en 1995, un extrait de l’émission Capital sur M6. Avec encore des prix en Francs !
Le Framablog dispose d’une chaîne audio avec des lectures de ses articles, ça changera de espeak !
Dogmazik Radio s’offre un nouveau site ! Le blog musique libre nous explique les détails.
Fabriquer le Darmanator ! (tuto Sécu Globale) : comment utiliser une IA pour faire un deep-fake avec la tronche du Ministre de l’Intérieur sur n’importe qui dans une vidéo !
Astrologeek
- sysadmin : Comment ça l’IP fixe elle est plus fixe ? Mais elle est codé en dur depuis 10 ans partout ? J’envoie la facture à qui pour les modifs dans mes scripts ?
- pentester : Je vois clair dans ton jeu de paquets, tout Telnet avec toit, SSH ce que je te reproche !
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