Voici quelques liens sur les sujets développés :

Nintendo annonce la sortie de nintendo lab

…en avril, je crois que ça va faire un carton, avec un carton pré-imprimé et la console switch il te sera possible de créer des objets faisant appel à des fonctions de jeu IRL et non plus que sur un écran un moyen de développer sa créativité.

La CNIL a 40 ans

Y a des vidéos d’époque sur le site de l’INA

« Avec le RGPD, la fin annoncée d’une partie de l’annuaire public des noms de domaine »

Les CNIL européennes s’inquiètent de la publication automatique des coordonnées des titulaires de noms de domaine via le « whois ». Elles pointent l’urgence du futur règlement européen, qui renforcera les sanctions dans quelques mois. NextInpact discute avec l’Afnic, Gandi et OVH des mesures d’urgence prises par l’ICANN.

Encore un rappel de batteries chez HP

Windows 7 reste devant Windows 10 chez les utilisateurs de Firefox

Piwik est mort, vive Matomo

Le logiciel Piwik, qui est une alternative libre à Google Analytics, change de nom.

Mozilla annonce commencer à restreindre les nouvelles fonctionnalités aux pages chargées via HTTPS

Pour forcer les sites qui n’utilisent pas TLS à y passer. Pas sûr que ça marche, mais bon.

Vocabulaire des télécommunications (liste de termes, expressions et définitions) adoptés

De nouveaux termes francisés sont parus au Journal Officiel : JORF n°0008 du 11 janvier 2018.
Du coup on va devoir parler d’appel-piège et de connexion fibronique (ta mère ?).

Chiptune: Virt – Staring at my spaceship (DX Edition)

Sujet: A quoi tu joues ? La tête dans les nuages

J’ai plus trop le temps de jouer en ce moment, avec le magazine Player Spirit qui se prépare et mon autre livre en cours (mais chut). Du coup, pour que je passe beaucoup de temps sur un jeu, faut VRAIMENT qu’il soit mortel. Je ne reparlerais pas de Zelda Breath of the Wild, qui m’a juste bouffé tellement d’heures de sommeil qu’avec mes cernes, actuellement, je pourrais facilement passer un casting de figurants pour the Walking Dead sans maquillage et… ah, on me dit qu’on ne voit presque plus de zombies dans The Walking Dead, pardon. J’en sais rien, j’ai arrêté de regarder depuis un moment… Bref, je vais trouver autre chose. Donc je ne parlerais pas de Zelda mais d’un tout autre jeu qui m’a non seulement scotché quand je l’ai découvert (alors que je savais déjà à quoi m’attendre, ce qui est plutôt une situation où j’ai plus de chances d’être déçu que surpris), mais que j’ai trouvé tellement, mais alors tellement… enfin tellement, quoi, que je l’ai fini, puis je l’ai recommencé du début. Et je l’ai fini une deuxième fois, dans la foulée. Et je l’ai recommencée, encore, cette aventure qui commence sur ces paroles…

Bioshock – bande-annonce

Bioshock Infinite, sorti en 2013 sur PC, PS 3, Xbox 360… C’est la suite indirecte du dyptique Bioshock, dont le premier épisode est sorti il y a déjà dix ans ! Lui-même était déjà l’héritier de System Shock 1 & 2, du même studio, Irrationnal Games, avec à sa tête Ken Levine, et on y trouvait déjà les bases du gameplay de la série Bioshock. Alors avant de parler d’Infinite, on va revenir un peu en arrière.

Au départ, Bioshock vous met dans le peau d’un certain Jack, unique survivant d’un crash d’avion dans l’Atlantique Nord, en 1960. Le rescapé découvre un phare qui s’élève au beau milieu des flots et, à l’intérieur, il embarque dans une bathysphère qui le plonge dans les profondes abymes de l’Océan où il découvre, incrédule, la cité sous-marine de Rapture. Une immense ville à l’architecture art déco doublée d’une esthétique steampunk. La grande classe quoi. Sauf que la ville est en ruines et commence à prendre l’eau par endroits, suite aux dégâts causées par une guerre civile menée par, d’un côté, le fondateur Andrew Ryan et, de l’autre, l’homme d’affaires et entrepreneur Frank Fontaine. Voilà j’en dis pas plus pour ne rien gâcher mais si vous n’avez pas touché à Bioshock, allez y jouer tout de suite, d’urgence.
Le premier Bioshock était très porté sur la science et l’art, voire la philosophie et la littérature, comme en témoignent les clins d’œil à la philosophe et romancière Ayn Rand. A commencer par le nom de l’homme qui vous guide dans les sombres couloirs de Rapture par radio, le mystérieux Atlas (dont on voit le portrait sur de nombreuses affiches de propagande) qui fait référence au roman la Révolte d’Atlas d’Ayn Rand, publié en 1957. Le nom du fondateur de Rapture aussi, Andrew Ryan, est quasiment l’anagramme d’Ayn Rand. And Ryan, Ayn Rand… Bref. La toile de fond du second Bioshock était plus axée sur la politique et surtout les inégalités sociales, puisqu’on visitait vraiment les bas-fond et les taudis de Rapture. C’est-à-dire que même dans cette cité bâtie sur l’idée d’un monde idéal, il s’est bâti des quartiers défavorisés… La force de Bioshock 2, c’est d’être l’antithèse du premier, tout en restant relativement semblable. Bioshock Infinite, lui, change complètement de perspective, des personnages, d’environnement, et met en avant la religion au centre des thématiques abordées. D’ailleurs, dès que le héros débarque dans la ville céleste de Columbia, après une introduction mémorable (la mise en scène est d’autant plus puissante dans Bioshock que les séquences cinématiques, qu’elles soient interactive ou non, restent en vue subjective, afin de préserver l’immersion du joueur, à la manière d’Half-Life). Bref, dès que le joueur arrive à Columbia, l’une des premières musiques qu’il entend est celle-là :

Bioshock Will The Circle be Unbroken (laisser musique)

Will the Circle be Unbroken, c’est un chant chrétien écrit en 1907, et réinterprété en 1935 par Alvin Pleasant Delaney Carter. D’ailleurs à la sortie de Bioshock Infinite en 2013, il y a eu une courte polémique sur Twitter, comme quoi certains cathos étaient scandalisés que des paroles aient été supprimées dans la chanson telle qu’elle est interprétée dans le jeu… Sauf que les paroles en question ont été rajoutées dans la version de 1935 et sont bel et bien absentes de la version d’origine de 1907. Or, l’action du jeu se déroulant en 1912, il est normal que les paroles incriminées soient absentes. C’est cohérent. Bon, c’est surement aussi parce que la version d’origine est tombée dans le domaine public contrairement à la version de Carter. Parce que d’un autre côté, le jeu s’autorise pas mal d’anachronismes au niveau musical. Ca vous dit quelque chose, ça ?

Bioshock Surprise

Bon, j’ai encore une fois beaucoup parlé musique, mais bon, faut me comprendre ; à la radio, j’ai quand même plus de chances de vous donner une idée de l’ambiance d’un jeu avec le son qu’en vous montrant des images. Comme ça là. Vous voyez rien ? Ben voilà. Bon, je vais quand même vous parler du jeu, c’est un minimum, mais sans trop vous en dire parce que Bioshock est autant une expérience à part, intense et immersive, qu’un FPS offrant une multitude de stratégies lors des combats. Outre la possibilité de surprendre vos adversaires, le jeu vous laisse le choix, comme ses prédecesseurs, entre armes conventionnels et pouvoirs spéciaux, voire aux deux à la fois, selon vos ressources.

Bioshock Family Reunion (laisser musique)

Dans Bioshock Infinite, on oublie le sentiment de claustrophobie et les couloirs sombres de Rapture puisque donc, l’aventure se déroule environ 50 plus tôt en plein ciel, dans l’immense ville volante de Columbia. Des immeubles entiers sont portés par des ballons dirigeables et soutenus par d’immenses hélices ; une technologie complètement utopique, mais dont les secrets sont révélés au fil du jeu, notamment par la présence de deux personnages intrigants, les jumeaux Lutèce, que le héros croise régulièrement. Le héros tiens, faisons les présentations. Booker DeWitt,
Il est chargé de retrouver la mystérieuse Elizabeth et de la ramener afin d’effacer sa dette. « Ramenez la fille et nous effaceront la dette », c’est la phrase récurrente qui va pousser DeWitt à affronter les autorités de Columbia, menées par le Père Comstock, qui semble régner avec bienveillance sur la ville entière qu’il a fondé il y a plusieurs années. Difficile d’aller plus loin dans les détails sans gâcher la surprise, mais si vous aimez les histoires complexes avec des failles temporelles et des dimensions alternatives, etc., Infinite va vous plaire.
On regrette que la notion de choix présente dans le premier Bioshock et approfondie dans le second, soit ici complètement absente… Le cheminement est linéaire, et seuls quelques objectifs secondaires facultatifs et divers secrets biens cachés seront à découvrir lors d’un second run. Mais c’est bien le seul défaut de ce jeu complètement envoutant, avec ses personnages énigmatiques, notamment la belle Elizabeth qui vous accompagne tout au long de l’aventure et vous fait profiter de ses capacités psychiques à certains moments. Le scénario est, une fois encore, très élaboré et la fin, complètement chaotique et surprenante *, n’est pas tout à fait la fin puisque Bioshock Infinite se paie le luxe de propose l’un des meilleurs DLC auquel j’ai pu jouer, Le Tombeau sous-marin, qui, ramène le joueur au cœur d’une Rapture vivante et paisible, peu avant les bouleversements qui ont précipités sa chute.

Conclusion, après un Bishock 2 bon mais très proche du premier, Infinite mets une telle claque et bouleverse tellement d’éléments, de l’environnement au scénario en passant par l’arsenal et les nouvelles possibilités de gameplay, qu’à mes yeux, c’est lui le véritable Bioshock 2. D’ailleurs le développement du “vrai” Bioshock 2 n’a pas été dirigé par Ken Levine, contrairement au premier et à Infinite et après celui-ci, Bisohock 2 donne presque l’impression d’être plus un DLC (très conséquent) au premier volet qu’une vraie suite. . D’ailleurs cela se ressent dans Le Tombeau sous-marin, qui fait énormément référence au premier Bioshock, et jamais au second. Ce DLC, en deux parties très différentes (mais je ne veux rien dévoiler, je m’en voudrais de gâcher la surprise), ce DLC donc est très particulier puisqu’il fait à la fois une croix sur les évènements de Bioshock Infinite, tout en en reprenant les personnages (on retrouve Booker et Elizabeth). Mieux encore : l’action se déroule AVANT le premier Bioshock, dans une Rapture vivante et peuplée, bien avant que la recherche d’Adam des autochtones ne dégénère au point de créer une guerre civile.

« L’esprit du sujet luttera désespérément pour créer des souvenirs là où il n’en existe aucun », telle est la citation de Lutèce au commencement du jeu.

Chiptune: Tout le monde est DJ docteur Vince

Agenda

  • WordPress 5.0 : préparons-nous au nouvel éditeur Gutenberg !
    • D’ici quelques mois, la version 5.0 de WordPress va sortir et elle intégrera un changement majeur dans le CMS : l’arrivée du projet Gutenberg dans l’éditeur de contenus !
    • Lors de ce meetup, Jean-Baptiste Audras, expert en maintenance WordPress, fera une démonstration de l’éditeur Gutenberg en live, puis présentera les différentes façons d’envisager sereinement la mise à jour vers WordPress 5.0
    • La Forge Collective, 8 rue Baudin, Valence
    • Mercredi 7 février 19h – 21h
  • Découverte et installation de linux sur son ordinateur : Partie 2
    • Vous souhaitez donner une seconde vie à votre vieil ordinateur, profitez encore plus des capacités du votre ordinateur ou tout simplement tourner le dos à windows ? Venez découvrir, échanger voire installer une distribution linux au cours de l’atelier.
    • L’atelier sera étalé sur deux séances : la première pour échanger sur linux et tester, la seconde (le 7 Février) pour installer pour ceux qui le souhaitent linux sur leur ordinateur.
    • La participation au premier atelier est nécessaire pour participer au second. Apportez votre ordinateur, son chargeur, de quoi grignoter et boire un coup.
    • Sur inscription
    • Valence Atelier Libre, 13 bis rue Montplaisir, Valence
    • Le 7 février, 18h30 à 21h
  • Atelier FreeCAD – Modélisation 3D sur ordinateur
    • Prérequis : un ordinateur (Windows, Linux ou Mac) pouvant être amené au VAL ainsi qu’une souris. Atelier d’initiation à la modélisation et l’assemblage de pièces en 3D sur ordinateur en utilisant le logiciel libre FreeCad. Cet atelier est ouvert à tous niveaux. Il a pour but d’apprendre les bases de la modélisation sur ordinateur pour être capable, par exemple, de faire des plans ou un projet d’impression de pièces à l’imprimante 3D.
    • Sur inscription
    • Valence Atelier Libre, 13 bis rue Montplaisir, Valence
    • Le 8 février, 18h à 21h
  • 1ère édition des SCADAYS
    • L’ANSSI sera présente
    • Une journée dédiée à la cybersécurité des systèmes industriels et urbains
    • Sur inscription
    • Le 8 février
    • Hôtel de Ville, 1 place de la Comédie, Lyon 1er

Astrologeek

  • gamer : inutile de te cacher, je sais où tu es steam me dit que tu es connecté
  • sysadmin : Pourquoi les administrateurs de bases de données n’aiment pas l’eau ?… parce que quand ils en boivent, l’eau racle dans la gorge.
  • libriste : le déluge c’est Dieu qui aurait fait un « rm -rf / » par erreur, encore une histoire de spécification mal renseigné
  • technophile : Non aux mirages des raccourcisseurs ! Je veux rester au plus proche d’URL !
  • nolife : IPsec ? et ça existe aussi IPmouillé ?
  • amigaïste : tu ne sort plus le jour, pâle comme un linge, ne serais-tu pas devenu vampire ?

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