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Firefox va supprimer le support 32 bits pour Linux
La version 145 qui arrive supprimera en effet le support des architectures 32 bits. Rassurez-vous si votre PC a moins de 15 ans il ne devrait pas être affecté.
Les réseaux fibre dans les campagnes en difficulté financières
Les coûts d’exploitation ont explosé, bien au dessus des estimations de 2015 de l’Arcep… Bon c’est sûr que si les zones rentables gérées par le privé pouvait financer ça ce serait plus simple.
Chiptune: « Untitled » du groupe Dust / The Party 1993
- RELEASED 29 DECEMBER 1993
- 1ST IN THE THE PARTY 1993 PC DEMO COMPETITION
- MS-DOS
Sujet : Chroniques Geek 3ᵉ partie
Rappel des épisodes précédents : Après quelques années à jouer sur différents ordinateurs (TO7, Amstrad), j’acquiers mon premier PC au lycée.
Donc, j’ai un PC de compétition, un super processeur, la meilleure carte graphique, la meilleure carte son, je sais que les démos existent mais… Je n’en ai toujours pas sur mon ordinateur! Comment faire pour en récupérer? On n’a pas encore l’Internet. Enfin… On n’a pas encore l’Internet à la maison! Je vous avais dit dans la première chronique que les gens qui avaient eu accès rapidement à des ordinateurs étaient soit en contact avec des militaires, soit le monde universitaire au sens large. Et bien là, je découvrirai l’Internet à l’université. Oui, parce que surfer sur le réseau de l’armée au travail de mon père, c’était pas possible… Donc, je suis au Lycée mais j’ai des contacts directement ou indirectement via des copains ou grand-frères de potes en école d’ingénieur. Il m’arrivera quelques fois d’aller en salle d’info à Orsay pendant mes vacances scolaires. À l’université, ils avaient moins de vacances! Et là, une fois qu’on a la bonne adresse pour trouver ce qu’on veut, c’est le festival (Encore faut-il trouver! Le seul moteur de recherche existant était Archie qui recensait les listes de fichiers disponibles sur certains FTP, autant dire que ce n’était pas simple, il fallait avoir une idée de comment les gens allaient appeler les répertoires). Le site accessible en FTP est un peu comme un disque dur distant, rempli de démos, triées par dates et noms de coding-party. Je prends n’importe quoi, y aura bien des trucs sympas dedans!
Là, c’est la grosse claque! Parce qu’à l’époque, on parle beaucoup de Second Reality de Future Crew qui est sympa, mais les autres groupes sont loin de se tourner les pouces. En fait, le groupe Future Crew est l’organisateur de la plus grosse coding-party au monde -l’Assembly- et ils ont une solide réputation pour avoir réalisé le ScreamTracker, un outil à destination de la communauté qui permet de concevoir des musiques à partir de samples, d’instruments, façon Amiga, mais avec la puissance du PC et de la Gravis UltraSound. Ils avaient aussi réalisé d’autres démos avant Second Reality. Cette dernière n’était que la cerise sur le gâteau d’une série réussie entamée l’année précédente : Unreal, multipart à l’ancienne puis Panic beaucoup plus newSchool et qui se moquait d’Unreal et des scrollings qu’il fallait définitivement enterrer, à moins éventuellement d’en faire qui soit intéressant techniquement, ce qu’ils feront plus tard dans la Second Reality. Panic est à mon sens leur meilleure démo mais la trilogie ne s’arrête pas sans une troisième démo, achevant la transition oldSchool/newSchool Second Reality (dont le nom de code interne au groupe était en fait Unreal 2) va justement reprendre les codes d’Unreal, certains effets et lui donner le flow de Panic pour fusionner en Second Reality.
C’est en ce sens que Second Reality est légendaire car elle achève la mue du groupe, qui ne fera plus rien par la suite (à part organiser l’Assembly, ce qui n’est pas rien)! Il faut dire que ça se bouscule au portillon pour envoyer des supers démos. Une des meilleures de ces années là reste pour moi Untitled du groupe DUST. Une ouverture en vue subjective dans un donjon crawler en vraie 3D avec des plans inclinés alors que leur démo sort… …en même temps que Doom ^_^ Bon, ok, ok, c’est plus artisanal mais ça envoie. Les transitions sont chouettes, la musique aussi, c’est une démo newschool de toute beauté.
Je suis complètement fasciné par les démos. À cette époque, elles donnent vraiment l’impression que les jeux vidéos du moment ne sont pas terribles (à l’exception de Doom et heu… ben pas grand chose d’autre en fait, même Comanche, un simulateur d’hélicoptère sorti en 1992 se fait un peu ridiculiser, alors qu’il inaugurait à sa sortie un magnifique voxel). Il y a une grosse course à la technique et pour le moment, la compétition est très serrée. Je vous parlais du goulet d’étranglement de la carte graphique. Cela a longtemps handicapé les jeux vidéos. Pour palier à ce goulet d’étranglement, il fallait ruser. Une des techniques les plus simples est d’envoyer les données petit à petit car les waitStates ou temps d’attente sont effectifs après chaque envoi de données. Mais ce temps d’attente ne s’applique que et uniquement si on veut envoyer de suite une nouvelle données à la carte graphiqe. Si on le fait petit à petit, les waitStates n’empêchent pas de faire autre chose et là ça tabasse. Comme souvent, ce qui est facile à dire est moins évident à faire. Je vais vous donner un exemple.
Plutôt que copier la nouvelle image du jeu d’un coup (donc lentement sans carte local bus), puis effacer son tampon avant de calculer la suivante, on peut par exemple, envoyer un pixel de l’image et pendant le waitStates, on l’efface de suite en mémoire centrale. Ainsi, le goulet d’étranglement vers la carte graphique est deux fois moins sollicité. Vous voyez l’idée? Je simplifie très grossièrement hein. Mais déjà quand on construit l’image d’un jeu, tout n’est pas possiblement fractionnable de la sorte et ça peut augmenter énormément la complexité. Les cartes rapides sur bus local étant récentes, nos machines ne correspondaient pas à la cible commerciale. Par contre c’était la cible du demomaker! Toutes les machines en party avait de la TsengLab en carte graphique pour poutrer un max! C’est ce qui a fait que pendant quelques années, les démos paraissaient très avancées sur la production de jeu vidéo car elles exploitaient la rapidité de ce bus, à minima les cartes graphiques rapides. Le bus local permet de calculer tranquillement un effet complexe dans la mémoire centrale sans s’occuper d’actualiser la mémoire graphique. On envoit tout d’un coup au dernier moment et ça reste rapide.
Ah, ces démos! Moi aussi je voulais en être, j’avais hâte de savoir programmer! Un copain me refile une version de Turbo Pascal, pas le langage le plus performant mais il permettait de mélanger du code de haut niveau avec de l’assembleur. De l’assembleur, j’allais pouvoir faire de l’assembleur! Le Turbo Pascal me servait à initialiser l’écran et allouer de la mémoire facilement*, et ensuite on pouvait travailler en assembleur dans notre mémoire, puis tout balancer sur l’écran. Alors je reviens sur ça. Pourquoi était-ce plus facile d’allouer de la mémoire en Pascal plutôt qu’en Assembleur? En fait c’est facile à faire en Pascal et en Assembleur. En Pascal on utilise la fonction d’allocation (je n’ai aucun souvenir de son nom) et pour faire la même chose en assembleur, on utilise la fonction #48 de l’interruption #21. Voilà, sauf que ces interruptions, on ne pouvait pas les deviner. MMU dira que ça devait se trouver quelque part dans la Bible du PC, encore fallait-il l’avoir et elle n’était pas donnée du tout. Bref, on connaissait par coeur celle qui passait au VGA ou au mode texte, ensuite terminé.
Le Pascal, c’était pratique, on pouvait prendre le meilleur des deux mondes, on se servait d’un langage de haut niveau pour faire la gestion peu passionnante et sans intérêt à optimiser (des calculs de tables, des accès au clavier). On pouvait ensuite se concentrer sur le noyau du programme, celui qui avait besoin de tourner à fond les ballons! Un des effets chouettes des démos et pas compliqué à réaliser était le rotozoom. Faire tourner une texture, pour reproduire le fameux mode 7 de la Super Nintendo. C’est sur cet effet qu’on fera nos armes, qu’on apprendra à optimiser et accélérer notre code, nous retrouvant chaque jour au lycée avec une nouvelle version plus rapide. La répétition de cet exercice a été très formateur (je dois avoir une centaine d’évolutions de ce rotozoom), d’une simple texture à faire tourner, on découvrait des problématiques de cache processeur, de cache mémoire, de prédiction de branchement et plus tard, de parallélisme, d’optimisation de code pour l’exécution dans le désordre. Le musicien faisait ses gammes, nous, on faisait des ro-to-zooms.
C’est donc à cette période que la bombe DOOM débarque!
Si vous n’avez pas encore entendu parler de Doom, je vous invite à écouter le podcast dans lequel je parle de John Roméro, ça posera un peu les bases. Mais pour résumer:
Doom est au moment de sa sortie l’évolution ultime des FPS (First Person Shooter ou jeu de tir à la première personne, en vue subjective), à tel point qu’on parlera pendant des années de Doom-Like pour les FPS, c’est texturé de partout, c’est coloré, ça ressemble à de la vraie 3D, il y a des effets de lumière dynamiques, il y a des gros sprites zoomés, et l’expérience sonore est immersive, la bande originale est une tuerie et on n’a même pas encore essayé d’y jouer en réseau ou construit nos propres niveaux. En plus, c’est gore, ce qui en tant qu’adolescent ne gâche rien. Tous les possesseurs de PC sont dingues du jeu. Il y a eu un avant et un après Doom comme jamais auparavant. Et Doom en fait, c’est une démo interactive! C’est beau et c’est fluiiiiiide. Le raycasting -la façon de calculer cette fausse 3D- est super précis, le rendu est très propre avec des compensations d’erreur. Parfois j’élimine tous les ennemis d’une salle et puis je me déplace tout seul pour voir comment le rendu se fait. C’est très impressionnant.
On continue à se refiler des jeux entre potes mais Doom reste l’occupation centrale et puis j’disais que je devais être arrivé à la 100ᵉ version de mon rotozoom, je mets un peu la programmation en pause. Doom est riche, la difficulté est non seulement bien dosée mais on peut la choisir (ce qui n’était pas courant à l’époque). Il y a aussi de nombreux passages secrets à découvrir. À chaque fin de niveau, le score s’affiche à côté du maximum possible. Tant d’ennemis tués pour tant d’ennemis au total, tant d’objets récupérés pour tant d’objets disponibles et enfin, celui qui titille le plus, tant de lieux secrets découverts, pour tant d’existants! Alors on refaisait les niveaux jusqu’à tous les trouver. Ce jeu va occuper une place centrale dans mon univers pendant encore des années…
Un nouvel accessoire, le MODEM
Plus tard je récupère un modem, plutôt lent mais hey, gratuit. Et gratuit c’est pas cher. Je n’ai pas des fonds illimités. Un modem (contraction de modulateur, démodulateur) sert à transférer des données informatiques par une ligne téléphonique. Alors si vous avez quelques souvenirs, le téléphone c’était pas ouf à l’époque hein. Du souffle, des délais voir de l’écho. Les premiers modems étaient très lents. Je ne m’en suis pas servi pour jouer en réseau (presque rien ne l’utilisait) mais pour me connecter à des BBS (Bulletin Board System, des systèmes d’échange de fichiers et messages). Je ne me rappelle plus comment j’ai trouvé les numéros à appeler. Sûrement dans un fichier NFO ou TXT d’une démo, il faut savoir qu’elles terminaient souvent avec les références du board où contacter le groupe et parfois les utilitaires ou démos partagées étaient accompagnés de BBS-Tro (des mini-démos faisant la pub de BBS, semblables aux cracktros). Si le BBS ACE était celui à contacter (il était spécialisé démo), je me rappelle que j’allais plus souvent sur un autre trublion nommé Electron BBS parce qu’il était dans ma zone locale (c’est à dire situé dans le même département bien que plus loin de Paris où était ACE, sauf que depuis chez moi, je payais moins cher les communications à appeler Electron). Et puis ce modem n’était pas un foudre de guerre. À 2400bds je ne faisais que tester, échanger du courrier via les messageries FIDONET.
Ces BBS offfraient une passerelle vers l’Internet, les groupes de news, et souvent servaient de miroir à différents fichiers utiles… …et moins utiles. On y trouvait des utilitaires (antivirus), des démos, des images coquines, … oups, hein? Mais non! Enfin si… Bon, oui. Les images coquines étaient souvent accessibles via un petit abonnement qui permettait au SysOP (Opérateur Système, le gouru du BBS) de financer son matériel et surtout les abonnements des lignes téléphoniques!
À part télécharger des fichiers, il y avait Fidonet donc. C’est un réseau en étoile qui ressemble à l’Internet mais sa particularité est d’opérer les échanges entre des machines qui n’ont pas de connexion en permanence. La messagerie avec Fidonet consistait à télécharger les nouveaux messages (il fallait s’abonner à des fils de discussion ou des catégories), on avait un logiciel de messagerie sur l’ordinateur et on prenait le temps qu’on voulait pour répondre. Quand on avait répondu à tous les messages, on se connectait pour envoyer tout d’un coup et recevoir les nouveaux. Les BBS échangeaient entre eux la nuit au petit matin. Ça avait un côté plus calme, les messages qu’on écrivait mettaient du temps à être diffusés et il fallait attendre aussi longtemps les réponses! Et pour information, FIDONET existe encore aujourd’hui! Il faudrait qu’on fasse un sujet plus complet sur les BBS, j’ai des tonnes d’anecdotes!
L’évolution rapide des débits aidant, je recupère à vil prix un 14400bds (donc 6x plus rapide que celui que j’avais) car un copain passait le sien en 28800bds. Cette explosion permanente de la vitesse est une constante de ces années là. Si aujourd’hui la vitesse des ordinateurs semble évoluer mollement et que votre Windows semble toujours aussi lent qu’il y a 20 ans, les années 80 et 90 sont vraiment folles, c’est tout le contraire! Les fréquences doublent rapidement, on parle beaucoup de la loi de Moore qui dit que la puissance des ordinateurs double tous les 18 mois. 18 mois… Vous vous rendez-compte? Quand je vous dis que cette période est incroyable. Ah! Et Windows 3.11 qui va déjà vite sur 486 impressionne sur Pentium…
Via le forum interne d’Electron BBS, je noue des liens avec certains membres de l’équipe et je me retrouve à aller à une visu sur Paris. Une visu, comprendre, se voir en vrai pour mettre des visages sur des pseudos. Le contact passe bien et l’équipe me propose de venir faire une LAN-party un samedi soir: À savoir, qu’on va mettre nos ordinateurs en réseau local (LAN, c’est Local Area Network) pour jouer. Personne n’appelait ça une LAN-party encore, en fait la plupart des gens ignorait qu’on pouvait le faire.
J’ai le permis. J’emprunte la voiture des parents. Je prends mon PC sous les bras (oui, mon écran, ma tour, les câbles, le clavier, SOUS les bras, vraiment, d’un coup. Il faut l’imaginer car je n’ai pas envie de faire des aller-retours de l’appartement de mes parents qui est au 5ᵉ étage, alors je développe une technique de chargement pour pouvoir tout porter d’un coup, et je n’ai jamais rien fait tomber). C’est qu’ensuite en bas de l’immeuble, j’ai encore des escaliers à descendre jusqu’à la voiture au parking souterrain. Direction Brunoy, à l’autre bout du département. Je déroule la Francilienne de bout en bout et termine par un peu de nationale 6, un sacré périple!
Big up à Hervé, Emmanuel et Rodrigo dont je n’ai pas oublié les noms! Ils avaient tout prévu, enfin, ils avaient une carte réseau à me prêter, le temps d’un soir, pour qu’on se mette sur la tronche. On cause technique, on prend un peu le temps de préparer les machines, de tester les connexions et on attaque le repas du soir. On a englouti je ne sais combien de kilos de pommes de terre avec la raclette et ensuite c’était parti pour la nuit. Aucune idée de l’heure à laquelle je suis rentré. Il y avait des étoiles dans le ciel et des étoiles dans mes yeux. Je le dis souvent ça mais cette période c’est vraiment l’émerveillement permanent. Le code réseau de Doom, bien que rustique, était sacrément efficace. C’était pour moi d’autant plus magique qu’on était sous DOS et que c’était le seul programme que je connaissais à pouvoir fonctionner de la sorte. Pour rappel, au moment où DOOM sort, Windows ne permet toujours pas de travailler en réseau (c’est possible avec une surcouche, mais pas en natif), il faut attendre quelques mois pour que la version Windows 3.11 for WorkGroups prenne en charge le réseau interne d’une entreprise. On se servira plus tard de WFW (Windows for Workgroup) pour faire nos copies les uns les autres.
Totalement conquis par le jeu en réseau, je m’achèterai quelques semaines plus tard une carte réseau NE2000 à Paris et je n’arrêterais pas d’en parler autour de moi au Lycée (il faut que t’essaies ça!), pour convaincre mes potes de s’équiper et organiser à mon tour des LAN-party dans le salon, jusqu’à 8 machines pour les jeux qui allaient débouler: Duke Nukem 3D, Manic Karts, mais Doom restera encore longtemps la référence car nous passions la semaine à concevoir nos propres niveaux, pour nous taper dessus le week-end. Qu’ils sont mignons. Alors à propos de jeux, jusqu’à présent, ce qu’on faisait, c’est qu’on avait différents jeux, surtout de voitures et quand on se retrouvait dans la cour, on s’échangeait nos records. Il y avait par exemple 4Dsport Driving, un jeu de voitures où on pouvait créer ses circuits, et quand on se partageait nos création dans la cour de récréation, le circuit contenait une table des records. Avec DOOM et le LAN, on se fritait en direct, ça n’avait rien à voir. Il faut imaginer une bande d’ado en train de meugler dans un salon, toute la nuit… Quand j’y repense, les voisins étaient cools, ou alors ils avaient de bonnes boules quiès.
Ainsi se termine cette chronique sur les démos, dans le prochain épisode, on parlera virus, Pentium et cartes 3D 🙂
Chiptune: Invitro bénédiction party 25 By CrackY
Invitation for Benediction Coding Party #5
- RELEASED 24 OCTOBER 2025
- AMSTRAD CPC, AMSTRAD PLUS
Agenda
Soirée Libre / Présentation VPN wiregard
Venez avec vos questions sur les logiciels libres.
14 novembre 2025, de 19:30 à 23:00 ;
MJC Châteauvert 3 place des buissonnets, Valence.
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Cet événement s’adresse à un large public avec une attention particulière pour les étudiantes et les étudiants.
Au centre du Village : le Totem des Emplois, Stages Alternances et CV pour dynamiser l’économie du Logiciel Libre et de l’Open Source.
Samedi 15 novembre, de 9h à 17h ;
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Les cafés numériques : « L’IA pour apprendre »
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Entrée libre. Sur inscription auprès de la médiathèque ;
Samedi 15 novembre 2025 à 15h ;
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Si vous avez besoin d’aide pour remplir un dossier MDPH, ou autre dossier de reconnaissance de handicap, vous pouvez rejoindre le Discord « Entraide MDPH » pour poser vos questions, d’autres usagers pourront vous aider.
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Dev Encyclopedia propose des définitions des termes courament utilisés par les codeurs, pour ne plus se sentir dépassé par le jargon.
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