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Disparition d’Evelyn Berezin à 93 ans

Elle a créé le premier traitement de texte électronique, et le premier système de réservation d’avions informatisé pour United Airlines. Le Computer History Museum propose une interview de 3 heures pour découvrir son travail.

L’Amstrad CPC464 a 40 ans !

Mais c’est Roudoudou qui va nous en parler !

Le domaine de premier niveau « .io » va disparaître

Le gouvernement britannique va rétro-céder les îles Chagos à l’Île Maurice, renonçant ainsi à leur souveraineté sur ces territoires… et donc le domaine de premier niveau correspondant sur Internet que l’IANA devrait bientôt annoncer sa mise à la retraite, et sa disparition, probablement d’ici 10 ans. Ben oui, le .io c’est pas pour dire « yo mon site il est top », mais c’était comme le .fr ou plutôt le .re (l’île de la Réunion a son propre TLD), donc rien à voir avec les techbros qui aiment les jeux de mots laids pour leurs sites. Vous êtes prévenus.

Chiptune: Daniel Balavoine – Mort d’un robot

Un titre de 1980.

Sujet : 40 ans du CPC

Il y a beaucoup d’activité pour les 40 ans du CPC et ça fait plaisir. Du côté de la démoscène on va avoir un des plus gros meetings depuis 17 ans! Une quarantaine de personnes, avec des revenants et des invités prestigieux, n’ayons pas peur des mots. En tous cas, moi je suis tout chose, je vais rencontrer des pointures venues d’Allemagne dont l’auteur de SymbOS, un système d’exploitation multi-tâche dont les derniers développements ont abouti à une machine virtuelle CP/M ainsi que le portage d’un compilateur C avec des normes pas trop anciennes. Il y aura aussi l’auteur du premier soundtrackers puissant et performant, orienté démo. Il y avait eu d’autres trackers avant mais c’était plutôt pour agrémenter des programmes en Basic. Je serai presque châgriné que ce meeting ne dure que 4 jours! Je vous en parlerai prochainement.

Pendant la période Covid, il y a eu pas mal de streamers qui ont profité du temps libre de certains pour les interviewer et la hype des interviews ne s’est pas arrêtée, loin de là. Donc on a pu avoir des points de vue de gens qui travaillaient dans les studios de jeu vidéo, dans la presse spécialisée et aussi chez les fabricants. Ainsi depuis quelques années, Roland Perry, le concepteur du CPC fait un peu la tournée des popotes. Il a donné les prototypes du CPC à une association espagnole et la machine fait un peu le tour des conventions.

On a pas mal de livres aussi mais beaucoup plus cette année. Il y a un gros bouquin qui fait le tour des réseaux sociaux en ce moment, un monstre de 600 pages réalisé par Patrick Hellio, un habitué du genre. Nous avons aussi l’ouvrage de Gunhed (plus abordable) qui s’appelle « Marion et les crocodiles d’Amstrad », et qui est (à mon sens) le meilleur du moment. D’abord il a réussi à faire parler Marion Vannier, ex directrice générale d’Amstrad France. L’aventure ne s’était pas très bien terminée et les déclarations qu’on pouvait trouver d’elle, une fois reconvertie dans la poterie (si, si!) étaient claires: « Ne me parlez plus de ce taf où j’ai finie en burnout » (je résume). On n’est pas comme beaucoup de livres dans l’inventaire, c’est une histoire qui raconte l’ambiance, la vie des équipes durant la période commerciale de ces ordinateurs. Gunhed annonce la couleur, il va faire parler les personnages, c’est romancé mais sur la base d’info obtenues auprès d’anciens d’Amstrad, et le rocambolesque est certifié en deça de la réalité.

C’est à dire qu’il y en a eu, des rebondissements et du rocambolesque dans l’histoire de cet ordinateur, on pourrait écrire d’autres livres encore! Le premier prototype de CPC utilisait un processeur Motorola mais l’équipe ayant filé à l’anglaise, c’est Roland Perry qui reprendra le projet avec un Z80, en concevant la machine de façon à ce qu’elle soit plus ouverte, évolutive et compatible CP/M. Il faut préciser qu’à l’époque MS/DOS n’était pas encore maître de la partie, en tous cas certainement pas du côté des ordinateurs personnels. Et puis une licence MS/DOS n’est pas gratuite! Alan Sugar, le PDG tenait à rentabiliser au maximum ce qu’il considérait alors uniquement comme un coup à faire pour noël.

Et ça a plutôt bien fonctionné. Mais je vais revenir quelques années dans le passé car pour bien décoder l’histoire d’Amstrad, il faut croiser les informations. Ainsi, quand Thomson sort son ordinateur personnel -le TO7- l’idée derrière tout ça était de vendre une télévision de plus par foyer, et que cette télévision supplémentaire soit une Thomson, évidemment. Alan Sugar reprend donc, quelques années plus tard, cette recette, mais oblige à prendre SON téléviseur, en fait des télévisions 36cm portables avec poignée, rebadgées et modifiées pour intégrer l’alimentation de l’ordinateur. On enlève le tuner (qui coûte beaucoup d’argent, pas en composants, mais en licence et taxes diverses, en France c’est pas loin de doubler le prix). Le tout assorti d’un tarif agressif, la machine a réalisé de très jolis scores en Europe de l’Ouest, principalement la France, l’Angleterre, l’Allemagne et l’Espagne. Quelques exemplaires se sont perdus aux US, et possiblement en Australie ou au Danemark pour notre plus grand bonheur puisque c’est au Danemark que NWC programmera quelques unes des démos CPC les plus innovantes.

En France, le succès des machines va ouvrir la porte à toute une série de magazines au ton léger qui trouveront facilement leur cible. Tilt, le leader en place, avait un contenu beaucoup trop mature, adulte et suivait mollement l’actualité. Génération 4 snobait les 8 bits. Le boulevard était tout tracé pour de nombreux magazines plus frais. Du lot va sortir Amstrad 100% emmené par une équipe hallucinante dont Sined, Rubi ou Poum qui y partageaient leurs connaissances pointues dès le premier numéro avec l’envie d’explorer la machine. Sined était un touche à tout, il terminera avec une belle série d’articles pour exploiter les disquettes au mieux avec un formatage propre qui offrait 20k de plus par face. Rubi lui, plus dans l’esprit démo, cherchait à caser un maximum de split-rasters sur une ligne ou faisait des scrollings hard énormes. Les demomakers n’étaient pas que chez Amstrad 100%, on aura d’autres pointures telles que Stéphane St Martin ou Fabien Fessard qui officieront dans un magazine concurrent: Amstar.

Pour ceux qui pensent connaitre l’histoire du CPC, j’aimerai qu’on arrête enfin avec cette légende urbaine sans queue ni tête de stock de lecteurs de disquette qui explique la raison de l’intégration des lecteurs 3 pouces. Roland Perry -le concepteur du CPC- que l’on voit donc régulièrement, ces dernières années dans des conventions en Angleterre ou en Espagne l’a parfaitement démenti. C’est une bête histoire de licence ET de format. Les lecteurs 5.25 étaient trop gros pour être intégrés dans le boitier du CPC (mais ils seront mis dans les PC 1512 et 1640 Amstrad). Les lecteurs Sony 3.5 étaient trop chers, les disquettes aussi. C’est donc Matsushita qui remportera le marché et améliorera ces lecteurs durant la vie commerciale des CPC, avec pour la sortie des Plus en 1990, un modèle 5V seulement. Il n’y avait pas de stock, ces lecteurs étaient produits « à la demande » et ils ont évolué pendant toute la durée de vie des CPC, 5 modèles en tout (EME-150,155,156,156V et 157) et après le CPC, il y a eu d’autres évolutions. Rien à voir avec un stock dont il aurait fallu se débarasser, mais les légendes urbaines ont la dent dure…

Roland Perry a donné de nombreuses interviews je disais, qui régaleront les amateurs. Toutes les réponses ne sont pas bonnes à entendre. On se rappelle que beaucoup de gens ont attendu un nouveau CPC 16 bits à même de concurrencer l’Atari ou l’Amiga, et quand les modèles Plus, avec quelques petits Plus sont sortis, ça a fait un bide! Les Atari et Amiga, approchant la fin de vie, étaient abordables et bien plus puissants. À ce four total qui a déçu les amoureux du CPC, Roland répondra simplement que la gamme 16 bits existait déjà, c’était les PC! Et il avait raison, ces modèles seront aussi un gros succès pour la marque. Tant pis pour les joueurs que nous étions. Tant pis pour l’idée qu’on se faisait de ce que le CPC pouvait devenir, il n’avait jamais été dans l’idée de faire un CPC 16 bits.

Je reviens sur la sortie du magazine Amstrad 100% avec quelques anecdotes fumeuses: La première est connue, avant qu’Amstrad 100% débarque en fanfare, il y avait un autre magazine, sobrement appelé Amstrad Magazine dont le chef de publication avait pris quelques libertés avec le fax qui lui servait d’autorisation à utiliser la marque déposée Amstrad. En effet, il était allé jusqu’à organiser une énorme Amstrad Expo, sans Amstrad France! La fin de la récré finit par tomber. Amstrad France le somme d’arrêter d’utiliser son nom, en fait pour lancer Amstrad 100%. Pas grave, le journal continuera sous le nom AM-Mag. Je me rappelle avoir eu le numéro Special Help, ancêtre de la bible des pokes de feu le magazine Joystick qui déboulera en force sur la fin de vie de la machine. Autant dire que les relations entre Amstrad 100% et Am-Mag n’étaient pas au beau fixe.

Il y avait beaucoup de mépris entre les magazines. Tilt, par exemple avec son équipe profesionnelle de non joueurs souffrait d’une image austère auprès des jeunes, trop sérieuse, mais surtout sans passion aucune, in fine, peu attrayante. Jean-Michel Blottière, ex rédac-chef du magazine n’a semble-t’il toujours pas digéré cette concurrence qui faisait (selon lui dans une interview de septembre 2024) des journaux de mauvaise qualité. J’ai donc enquêté pour vous et relu quelques numéros de Tilt. Il y avait certes de bons articles de fond, mais dans les autres magazines aussi! Ce qu’il lui manquait, c’était la recette qui a fait le succès d’Amstrad 100% et plus tard de Joystick. Une mise en page attrayante, de l’humour, des détails techniques, de la déconne… Enfin, quand je disais qu’il manquait la passion du jeu. Il suffit de reprendre quelques numéros de la fin des années 80 pour voir des jeux nuls classés hits et des hits relégués à la seconde zone, dans la rubrique « rolling softs » qui se sous-titre tel que: « Ils n’ont pas mérité d’être en hits ». Désolé Jean-Michel, quand ça veut pas, ça veut pas…

Dans cette guerre ouverte entre magazines, il y avait aussi une course aux scoops. On peut voir avec un oeil amusé un test soit-disant exclusif de 944 Turbo Cup dans le numéro de décembre 1988 d’Amstrad 100% (alors que la sortie nationale annoncée était le 28 octobre 1988). Que trouvait-on dans le numéro de décembre 1988/janvier 1989 du magazine Amstar? Un test de 944 Turbo Cup. En fait tous les autres journaux, à part peut-être Tilt avait testé le jeu en même temps. Quitte à raconter n’importe quoi, il fallait aller plus loin. Décembre 1988, on commence à voir apparaitre des publicités de Lankhor pour un jeu d’aventure dans ce même numéro d’Amstrad 100% et d’Amstar. Après être passé pour des imbéciles à vanter des exclus pas exclusives, ils allaient y aller franco, un faux test d’un jeu pas sorti!

Le numéro de janvier arrive et le test du jeu d’aventure sort. Ce n’est pas le test de n’importe quel jeu, c’est le test du Manoir de Mortevielle, gros succès sur Atari et bien connu des joueurs CPC pour une bonne et simple raison. Sa qualité globale de réalisation. Pour rappel, sur CPC, les jeux d’aventure avaient souvent des graphismes moyens, parce que ça économie la mémoire, ou en 4 couleurs pour gagner en finesse (moins de couleur = pixels plus petits). Là, c’est du mode hautes couleurs. Les pixels sont plus gros mais les images sont plus colorées. La raison de ce choix technique? On ne tape plus de texte, on utilise des listes déroulantes et on utilise un curseur de souris (sans souris) pour pointer des choses à l’écran, ouvrir des tiroirs, etc. D’habitude il faut écrire du texte à la main. C’est du jamais vu sur CPC, surtout que chaque changement de lieu s’introduit par des sons digitalisés de très bonne facture. Une synthèse vocale est même de la partie, avec des voix différentes pour chaque personnage. Je rappelle que ce jeu fonctionne avec 64K de mémoire. Techniquement, c’est excellent et il y a matière à faire un beau test.

*note pour les pinailleurs. Il y a eu au moins un jeu utilisant les listes déroulantes avant le manoir de mortevielle sur CPC, « profession détective » mais pas d’interactivité avec l’écran, pas de synthèse vocale, pas de digits et une complexité de l’histoire sans commune mesure. Quand le manoir de mortevieille sort, c’est la machoire qui tombe pour tout le monde, dès l’écran d’introduction.

Donc, Amstrad 100% fait semblant de tester ce jeu et le test est lunaire. Déjà, des photos de la version Atari sont utilisées. Il y a bien la petite mention « Photo de la version Atari » mais pourquoi? Le test s’étale sur 2 pages, reprenant de façon peu inspirée le narratif de la solution du jeu, bien connue des Ataristes. Litéralement, l’article raconte une histoire en recopiant la solution du jeu. Il n’y a absolument aucun détail technique dont la revue se fait pourtant une spécialité, à fortiori quand un jeu dénote à ce point des autres. Les graphs, la musique d’intro, les digits, la synthèse vocale? Rien. On lit le test mais on ne sait même pas qu’on parle d’un jeu en fait. Le test n’est pas signé non plus. Dans le numéro suivant, devant les remarques de lecteurs, la rédaction poussera le bouchon un peu plus loin: Si, si, je vous jure, on l’a bien testé, on a juste mis des photos Atari pour cause technique, tout ça, tout ça. Pathétique.

Il faut attendre le mois suivant chez Amstar (février) pour avoir un vrai test avec l’étonnement technique mérité par cet ovni « Enfin un logiciel d’aventure qui parle, et de surcroit bien. Une fois de plus l’accent est mis sur la qualité des graphismes. Un reproche sur le côté grille-pain avec la disquette » qui prouve qu’il a bien été joué sur CPC et surtout des captures d’écran CPC !!! En effet, la quantité de données du jeu fait qu’on est souvent obligé de retourner la disquette pour accéder à telle ou telle donnée. Dans un autre magazine, Am-Mag, le jeu n’est testé que dans le numéro de mars 89 -deux mois plus tard!- avec toujours les évidents détails techniques qu’on se plait à étaler: « réalisation impeccable […] s’y ajoute une panoplie sonore inhabituelle dans ce type de jeu : synthèse vocale, bruits et musiques digitalisées. Au point qu’il est conseillé de brancher votre Amstrad sur une chaîne hifi » Cette dernière phrase venant tout droit de la notice CPC, attestant qu’ils avaient eu le jeu entre les mains, eux 🙂

Voilà, j’étais parti pour vous parler des 40 ans du CPC, j’ai commencé à parler d’un livre, d’anecdotes et en voulant vérifier quelques déclarations récentes de rédacteurs, je me suis retrouvé à détricoter des falsifications en partant de règlements de comptes des uns et des autres. Comme quoi, au bout de 40 ans, il y a encore des choses à découvrir et c’est aussi pour ça qu’on l’aime, notre période CPC. Et si vous voulez pousser un peu plus loin l’histoire du CPC, aux approximations près, on vous met des liens vers les ouvrages du moment.

Chiptune: Square Roots by Tom&Jerry/Vanity

  • RELEASED 12 APRIL 2020
  • 1ST IN THE REVISION ONLINE 2020 OLDSKOOL 4K INTRO COMPETITION
  • AMSTRAD CPC

Agenda

Pièce de théâtre « Qui a hacké Garoutzia ?

« Tragicomédie policière en quatre actes, qui raconte les vies successives de Garoutzia, un agent conversationnel, une bote du futur »

La version papier est disponible chez cfeditions.

Tarif 12,50€ ;
Les mardis à 19h30 jusqu’au 31 décembre ;
La Scène parisienne, 34 rue richer, 75009 Paris.

Game Story de retour à Versailles !

La plus grande rétrospective de jeu vidéo d’Europe, Game Story, avec MO5.com ! Plus de 100 machines jouables, ainsi que des jeux modernes.

du 19 octobre 2024 au 25 avril 2025 ;
à l’ancienne Poste de Versailles, face au Château.

Girls can code!

Stages gratuits d’initiation à l’informatique pour collégiennes et lycéennes.

sur inscription ;
Samedi 19 octobre (peut-être le 20 aussi, informations contradictoire) ;
ESISAR, rue Barthélémy de Laffemas, 26000 Valence.

Ateliers enfant au Fablab de Fabrico

Pour les vacances d’octobre :

Mardi 22 et mercredi 23 octobre, 14h-16h30 : Lampe Plexi (Atelier en deux parties) Réalisation d’une lampe en plexiglas avec un éclairage LED : tu choisis le design, tu soudes, tu assembles et tu repars avec ! Tarif : 60€ les deux ateliers après adhésion (7€/ an l’adhésion pour les enfants ou 2€ l’activité)

Vendredi 25 14h-16h30 : Confection d’une lampe solaire ! Viens t’initier à la découpe/gravure laser et l’électronique en confectionnant une lampe solaire. Tarif : 30€ l‘atelier après adhésion (7€/ an l’adhésion pour les enfants ou 2€ l’activité)

Payant, sur inscription ;
Fabrico, 7 rue Belle Image, 26000 Valence.

Du lien et des liens

Les vidéos des Journées du Logiciel Libre sont sorties. On rappelle qu’il s’agit des Journées du Logiciel Libre de Lyon, qui a lieu au printemps.

On peut ainsi retrouver la conférences sur les CHATONS, qui revient notamment sur l’année 2023 du collectif.

Toujours des vidéo, mais du rétro :

Une interview récente de John Romero et Jordan Mechner sur la préservation de l’histoire du jeu vidéo. Si seulement ils pouvaient être entendus

Et quelqu’un a rédigé une liste de playlists de vidéo PeerTube sur le Retro-computing, classées par machine. Y a du CPC, de l’ORIC, Atari, Amiga, MSX…

Pour le 40ème anniversaire du jeu « Elite », son auteur Ian Bell a publié gratuitement les codes sources des version Apple, Atari, C64, et NES. Ainsi que ceux de portages jamais terminées sur SNES et BBC.

Astrologeek

  • sysadmin : Aujourd’hui on erase gratis.
  • oldschool : CPC mais c’est passé…
  • nolife : Je ne me suis pas levé de mon fauteuil aujourd’hui… mais au moins c’est un Amstrad.
  • atariste : Oué hein bon ça va, vous vous avez un 68000…
  • amigaïste : Oué hein bon ça va, vous vous avez un 68000… et des coprocesseurs.
  • musicien : J’ai mis le casque odieux.

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